Roland, Jean Luc, Guylène et Raphaël animent le Dialogue avec la presse.
« La chose la plus importante à toute la vie est le choix du métier, le hasard en dispose. » Cette pensée de Blaise Pascal, Jean-Luc Médouze l’a balayé d’un revers de main. Car, aussi loin que peut le ramener en arrière sa mémoire, il a toujours voulu être journaliste. Ainsi, il n’a point laissé au hasard le soin de décider pour lui à propos de son métier.C’est donc tout naturellement qu’une fois son baccalauréat littéraire en poche, il s’inscrit à la Faculté de Lettres pour décrocher un diplôme d’études universitaires générales (DEUG) de Lettres Modernes.Parallèlement, il touche au monde de la radio avec Radio As qui émet sur les hauteurs de Fort-de-France. Il côtoie RFO (aujourd’hui Martinique 1re) et RCI pour des stages aux bureaux d’informations de ces deux Médias. Après une période en tant qu’attaché de presse vacataire au Centre martiniquais d’actions culturelles (CMAC), il est sollicité pour coordonner le fascicule édité à l’occasion des célébrations en Martinique du centenaire de la mort de Victor Hugo. À l’Armée, il va être affecté au Service d’information et de relations publiques des armées (SIRPA) Antilles-Guyane… Et, c’est en tenue militaire qu’il arpentera pendant quelques mois les couloirs de France-Antilles, le seul quotidien de l’île. Il intègre cette entreprise de presse comme pigiste aussitôt son paquetage remis.À la place François-Mitterrand, journaliste polyvalent, il s’occupe du social, des faits divers et de la politique avant d’être nommé depuis une dizaine d'années chef de centre, responsable des communes du Sud et du Nord Caraïbe…